Alors que de nombreux habitants de la capitale togolaise passent le 1er mai à la plage, les ouvrières de la zone franche de Lomé ont défilé pour faire entendre leurs revendications.
Créée en 1989, la zone franche de Lomé héberge aujourd’hui une soixantaine d’entreprises (chinoises, coréennes, françaises, togolaises, allemandes…) qui emploient plus de 10.000 salariés. Mèches synthétiques, assemblage de pièces de motos, plastiques, agroalimentaire…
Longtemps zone de non droit, la zone franche est, depuis 2011, régie par le code du travail togolais et, en 2012, une convention collective sectorielle a été signée par les trois organisations syndicales présente de la zone franche et les représentants de l’état et du patronat. « Mais elle n’est toujours pas appliquée », déplore Jean Agbanan Kodjovi, secrétaire général de SYNATRAZOFT (Syndicat national des travailleurs de la zone franche du Togo).
Longtemps zone de non droit, la zone franche est, depuis 2011, régie par le code du travail togolais et, en 2012, une convention collective sectorielle a été signée par les trois organisations syndicales présente de la zone franche et les représentants de l’état et du patronat. « Mais elle n’est toujours pas appliquée », déplore Jean Agbanan Kodjovi, secrétaire général de SYNATRAZOFT (Syndicat national des travailleurs de la zone franche du Togo).