France, Philippines
1er mai à résidence
Je ne suis pas dans la rue ce 1er mai. Conséquence de la propagation fulgurante d’un virus au nom de bière mexicaine, nous voici confinés, assignés ad libitum à résidence. Nous avons pourtant bien des raisons de le battre, le pavé. Des raisons de taper du poing sur la table, de dire que l’après ne doit pas ressembler à l’avant, en pire. Mais bon… (…)